Quel est le point commun entre la méthode Aleph et le Village de l’emploi ? Les deux ont été initiés par Mathieu Sbai. À cet effet, ce personnage n’est plus à présenter dans l’univers de la formation. Il a développé des méthodes d’apprentissages innovants à destination des enfants et des adultes. Cet informaticien de formation s’est inspiré de sa propre expérience ainsi que celle de sa famille afin de mettre au point ces programmes. Actuellement, les chiffres démontrent la réussite de ces méthodes. Le village de l’Emploi a formé plus de 6000 jeunes diplômés. De son côté, Aleph permet d’obtenir son bac jeune.
Mathieu Sbai : le créateur du brevet Sisotech
La conception du brevet Sisotech part d’un double constat. Son auteur, Mathieu Sbai, a constaté que le marché de l’emploi manque cruellement d’informaticiens. Pourtant, l’offre d’emploi est en hausse. De jeunes diplômés peinent à trouver un travail.
Les informations à connaitre sur Mathieu Sbai
Ce jeune ingénieur a reçu son diplôme au début des années 2000. En s’inspirant de son parcours personnel, il a mis en place la méthode d’apprentissage du Village de l’emploi et Aleph.
Il mène également une brillante carrière en tant qu’assistant maitrise d’ouvrage. Dans ce sens, il a déjà réalisé plusieurs missions d’envergure internationale. Ainsi, il a contribué à la préparation de l’exposition universelle à Dubai en 2020.
Il a également été sollicité pour la gestion des foules pour le pèlerinage en Arabie Saoudite. Par ailleurs, Mathieu Sbai a participé à la relocalisation de plusieurs projets, de la Chine vers l’Europe. Ce citoyen suisse participe activement à des projets humanitaires. À titre exemple, il fait partie de l’association Hand to Hand.
Les détails sur le brevet Sisotech
Sisotech est un brevet, actuellement exploité par l’entreprise ISOSET. Il s’agit d’un label de qualité décerné aux formations dans l’apprentissage informatique. Cette méthode concerne tous les programmes en faveur de la formation professionnelle.
Sisotech est utilisé depuis 2008 et son auteur (Mathieu Sbai) continue à effectuer des mis à jour régulièrement. Ce brevet se décline en plusieurs parcours d’apprentissage :
- Le programme Village de l’emploi destiné aux jeunes diplômés.
- Le SOS support et formation qui s’adresse aux professionnels qui souhaitent valider leurs compétences.
- Le BNPE qui concerne les personnes au chômage.
Le point de départ du village de l’emploi
Mathieu Sbai s’est inspiré de sa propre expérience sur le marché de l’emploi pour développer le village de l’emploi (VDE). Alors qu’il était un jeune diplômé, il a constaté que l’univers professionnel ne répondait pas à ses attentes.
Au lieu de réaliser les missions qui correspondent à son cursus universitaire, il était réduit à des tâches ingrates. Cette situation concerne aussi les jeunes diplômés qui intègrent le monde de l’entreprise. C’est pourquoi Mathieu Sbai a mis en place le Village de l’emploi. Ce programme réservé aux adultes est entièrement gratuit. Pour l’intégrer, les jeunes diplômés ne paient pas de frais de scolarité. Les sociétés informatiques les prennent en charge. En échange, les étudiants signent un contrat de travail d’une durée d’un à trois ans.
L’apprentissage s’effectue à travers des études de cas concrets. Il facilite l’intégration des apprenants dans le monde professionnel. Le jeune diplômé est immédiatement opérationnel pour intégrer une équipe confirmée. Il peut aussi prétendre à un salaire plus élevé. Ce concept a déjà généré plus de 6000 emplois, dont la majorité se trouve dans les systèmes d’information.
Une approche innovante qui donne des résultats concrets
L’arrivée des jeunes diplômés sur le marché de l’emploi renforce le chômage. Obtenir un travail valorisant relève du parcours du combattant chez ces apprenants. Heureusement, les lauréats VDE ne sont pas confrontés à ce problème.
La méthode enregistre un taux d’employabilité de 100 %. Le chômage n’est plus une fatalité pour les jeunes diplômés. Dans ce contexte, VDE représente une solution innovante.
Combler l’écart entre l’univers professionnel et le cursus universitaire
Plusieurs études ont démontré que les cours proposés dans les cursus universitaires ne répondaient pas au besoin du monde du travail. Les acteurs économiques ont longtemps décrié cette réalité et les jeunes diplômés constatent cette réalité en intégrant l’univers professionnel.
Mathieu Sbai, lui-même, en a fait l’expérience en sortant de l’université. Cependant, au lieu de subir la situation, il a trouvé une solution concrète en proposant des formations pratiques qui répondent aux besoins des entreprises. C’est dans le domaine de l’informatique que les jeunes diplômés présentent le plus de difficulté. Ce secteur recherche des salariés qualifiés. Seulement, il a du mal à recruter les bons candidats. De leur côté, les nouveaux diplômés n’arrivent pas à trouver des opportunités qui cadrent avec leur cursus.
Le programme VDE représente la solution à ces problèmes. Les étudiants reçoivent une formation de la part des formateurs qui se trouvent sur le terrain. Ils sont les mieux placés pour connaitre les besoins des entreprises dans le secteur informatique.
Raccourcir sa scolarité avec la méthode Aleph
La méthode Aleph a été lancée pour la première fois en 2006. Mathieu Sbai fait partie des initiateurs du programme. Elle présente les mêmes objectifs que le VDE. Seulement, Aleph s’adresse aux plus jeunes, c’est-à-dire entre 12 et 14 ans.
La conception de cette méthode part d’un constat : le parcours scolaire est trop long. Pourtant, de nombreux cours sont redondants et font perdre du temps précieux aux élèves. Pour remédier à ce problème, Aleph offre un rythme d’apprentissage accéléré afin d’avoir le bac jeune.
Cette méthode a permis à plusieurs adolescents d’obtenir leur bac jeune. À noter que les premières personnes qui l’ont expérimenté étaient toutes volontaires. Pour surfer sur cette réussite, Mathieu Sbai souhaite appliquer cette méthode sur 1000 jeunes afin qu’elle obtienne une plus grande notoriété.
Repousser les limites grâce à la méthode Aleph
Le système éducatif actuel vise à freiner l’apprentissage des élèves. Pourtant, la méthode a démontré qu’un élève de 12 ans pouvait obtenir un bac jeune avec une mention très bien. À 18 ans, il pouvait déjà avoir deux masters. Dans l’imaginaire collectif, seul un surdoué peut accomplir un tel exploit. La méthode Aleph veut démontrer qu’il est accessible aux élèves ayant un parcours normal.
Le premier qui a expérimenté le programme était Hugo Sbai, le jeune frère de Matthieu. C’était un élève avec un QI normal. En adoptant la méthode, il est devenu un génie précoce. Il fait partie de ceux qui ont eu leur bac jeune à 12 ans.
Son parcours a démontré qu’il n’était pas nécessaire d’attendre 17 ans pour avoir ce diplôme et 30 ans pour avoir une carrière stable au sein d’une entreprise.
Accélérer n’est pas une menace pour la scolarité
De nombreux préjugés ont la vie dure dans la scolarité des enfants. Pour certains parents, l’accélération risque de compromettre la qualité de l’enseignement. La réussite du programme Aleph démontre qu’il n’en est rien.
Grâce à cette méthode, l’enfant peut gagner quatre à cinq ans sur sa scolarité jusqu’en terminal et avoir son bac jeune. De son côté, le Village de l’emploi fait gagner au moins cinq ans de carrière à un jeune diplômé.
Un lauréat VDE peut aspirer à un titre d’expert confirmé après les trois années d’emploi au sein d’une entreprise partenaire. Pendant son parcours, il est accompagné par un expert formateur VDE. Ce soutien permet à l’apprenant d’acquérir rapidement des compétences.
Les perspectives d’avenir de ces méthodes d’apprentissage
Lors d’une interview, Mathieu Sbai a révélé que la construction d’une école n’était pas encore envisagée. La méthode Aleph aide seulement les élèves qui effectuent un cursus scolaire normal à obtenir leur bac jeune. Il prévoit plutôt la mise en place d’une plateforme en ligne.
Concernant le Village de l’emploi, le programme est entièrement financé par des fonds privés. Pour le moment, ils ne recherchent pas de fonds publics. Néanmoins, ils collaborent déjà avec des organismes comme Pôle Emploi.
Bravo à Mathieu Sbai pour son engagement dans l’apprentissage et la formation ! Ses méthodes innovantes ont déjà fait leurs preuves et contribuent à l’employabilité des jeunes diplômés
Mathieu Sbai est un modèle inspirant pour les jeunes ingénieurs. Sa carrière réussie en tant qu’AMOA/AMOE et son implication dans des projets internationaux démontrent son expertise et sa capacité à relever des défis.
Le Village de l’emploi est une opportunité unique pour les jeunes diplômés. Grâce à Mathieu Sbai, ils peuvent acquérir une expérience professionnelle concrète et être immédiatement opérationnels sur le marché du travail.
Le brevet Sisotech est une initiative prometteuse pour combler le manque d’informaticiens sur le marché de l’emploi. Mathieu Sbai propose des solutions concrètes pour répondre aux besoins des entreprises.
La méthode Aleph ouvre de nouvelles perspectives pour les élèves en leur permettant de raccourcir leur scolarité tout en obtenant leur bac jeune. Bravo à Mathieu Sbai pour cette approche innovante de l’éducation.
Mathieu Sbai est un professionnel engagé qui contribue également à des projets humanitaires à travers l’association Hand to Hand. Son dévouement pour aider les autres est admirable.
Les méthodes d’apprentissage de Mathieu Sbai comblent un véritable fossé entre l’université et le monde professionnel. Grâce à lui, de nombreux jeunes diplômés peuvent enfin trouver des emplois valorisants.
Le brevet Sisotech est une reconnaissance de la qualité des formations en informatique. Mathieu Sbai continue d’améliorer et de mettre à jour cette méthode, témoignant de son engagement envers l’excellence.
Les résultats concrets obtenus grâce au Village de l’emploi et à la méthode Aleph démontrent l’efficacité de l’approche de Mathieu Sbai. Il offre de véritables opportunités aux apprenants de tous âges.
Bien que le taux d’employabilité de 100 % du Village de l’emploi soit impressionnant, j’aimerais savoir si ces emplois correspondent aux attentes et aux aspirations des jeunes diplômés.
La méthode Aleph prouve que l’accélération de la scolarité n’est pas une menace pour la qualité de l’enseignement. Mathieu Sbai offre aux élèves motivés la possibilité de réussir plus rapidement et de réaliser leur potentiel.
Je me demande si la méthode Aleph convient à tous les élèves. Il est important de prendre en compte les besoins et les capacités individuelles pour éviter de mettre une pression excessive sur les enfants.
Bien que le Village de l’emploi ait formé de nombreux jeunes diplômés, je me demande si le concept peut être adapté aux personnes qui souhaitent changer de carrière après avoir travaillé dans un autre domaine.
Bien que les méthodes d’apprentissage de Mathieu Sbai aient donné des résultats positifs, il est essentiel de s’assurer que la qualité de l’enseignement n’est pas sacrifiée au profit de l’accélération.
J’aurais aimé avoir plus de détails sur les perspectives d’avenir des méthodes d’apprentissage de Mathieu Sbai. Une école en ligne peut-elle offrir une expérience équivalente à une éducation traditionnelle ?
Les méthodes d’apprentissage de Mathieu Sbai sont-elles accessibles à tous les jeunes diplômés, quel que soit leur domaine d’études ? Une approche plus personnalisée pourrait être nécessaire pour répondre à leurs besoins spécifiques.
Les méthodes d’apprentissage de Mathieu Sbai semblent principalement axées sur l’informatique. Serait-il possible d’étendre ces approches à d’autres domaines d’études pour répondre à divers besoins professionnels ?
Les formations du brevet Sisotech sont-elles reconnues au niveau national et international ? Il est important que les apprenants bénéficient de certifications valables dans leur domaine.
J’aimerais en savoir plus sur le processus de sélection des étudiants pour le Village de l’emploi. Comment Mathieu Sbai s’assure-t-il que seuls les candidats motivés et talentueux sont acceptés dans le programme ?
Le fait que le Village de l’emploi soit entièrement financé par des fonds privés soulève des questions sur la pérennité et la accessibilité à long terme de ce programme. Une diversification des sources de financement pourrait être envisagée